En ce moment

Titre

Artiste

Emission en cours

L’R de rien

06:00 07:00

Emission en cours

L’R de rien

06:00 07:00

Background

Lucille Lapierre : Agissons avant que le burnout arrive !

3 octobre 2024

La Communauté de Saint-Loup s’investit dans la prévention du burnout chez les jeunes professionnels : Lucille Lapierre en parle. Elle témoigne aussi que ce syndrome d’épuisement ne lui est pas étranger…

Responsable de la communication à la Communauté de Saint-Loup, Lucille Lapierre est passionnée par son métier et s’y épanouit telle une fleur. Formée à l’Eracom (Ecole romande d’arts et communication) comme conceptrice en multimédias, la jeune femme a travaillé quelques années en France puis, de retour en Suisse, s’est mise à son compte. C’est un divin hasard qui l’a conduite ensuite à travailler à la Communauté de Saint-Loup : « Je n’ai pas cherché ce travail. En fait, une de mes connaissance savait le besoin de communication à la Communauté et m’a passé un coup de fil pour m’en parler ». Lucille ignorait tout de Saint-Loup et, petit à petit, en découvre le fonctionnement. Après cinq ans, elle s’émerveille toujours de ce lieu, de ce qui s’y passe et du soin qui est pris à l’accueil de toutes les personnes qui viennent pour un court séjour, pour se ressourcer, pour y suivre une retraite ou un séminaire.

Touchée par le préoccupant taux d’épuisement chez les jeunes professionnels, la Communauté complète son offre avec un séminaire de trois jours sur le thème de la prévention du burnout. « Dans la tranche d’âge des 18-35 ans, les jeunes qui travaillent sont particulièrement exposés au risque de burnout, explique Lucille Lapierre. Ce que nous leur offrons dans le cadre idéal de Saint-Loup, c’est de pouvoir se pencher sur leur santé selon une approche biblique, et de goûter aux possibles de Dieu dans les réalités du monde du travail ».

 

Le burnout, je vois très bien ce que c’est

Le syndrome d’épuisement, cet état de fatigue profonde à la fois physique et psychique, la jeune yverdonnoise l’a connu elle aussi, même si ce n’est pas le terme burnout qu’elle aurait utilisé alors. « Ça s’est passé à la suite de la naissance de mon fils et j’ai attribué cela à une sorte de dépression post partum. Mais je vois très bien ce que c’est, ce moment où l’on perd sens, où l’on a l’impression que plus rien ne marche, où l’on perd confiance en soi, on perd la sécurité, on ne se sent plus capable de se projeter. Ma foi en Dieu a fait une grande différence dans ce moment-là, oui. Mais mes sensations étaient quand même celles-ci », reconnaît-elle simplement.

 

 

En savoir plus sur les offres de séjours de la Communauté de Saint-Loup

Ecouter l’émission VIP avec Lucille Lapierre :

 


Les opinions du lecteur

Laisser un commentaire

Votre adresse email ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *